J'ai préco Dreadfleet !
Pour mon anniv, j'ai précommandé "DreadFleet" le Collector "ManoWar" en version 2011 de Games Workshop, jeu que j'avais adoré mais que j'avais revendu ! Revente que j'avais toujours quelques années plus tard, bien regretté !
Comme toujours dans le monde de Warhammer, le jeu est baigné de magie, avec des galions morts-vivants fantomatiques, des navires aux équipages composés de créatures mystiques, des piranhas morts-vivants volants, des bordées de canons en pagaille et des capitaines si flamboyants qu'Errol Flynn lui-même peut aller se rhabiller. La scène pour cette confrontation épique entre le bien (ou tout au moins, entre des pirates vivants) et le mal (des pirates morts-vivants vraiment affreux) est le Cimetière du Galion, un lieu étrange d'où Noctilus tire ses pouvoirs, et où Roth s'est rendu pour débusquer sa proie.
Le jeu contient dix navires sublimes dotés chacun de leur propre capitaine haut en couleurs. De plus, chaque navire possède ses propres caractéristiques et règles spéciales, ce qui multiplie d'autant le nombre de tactiques à tester. Alors que la plupart de nos jeux sont traditionnellement pour deux joueurs, celui-ci peut rassembler jusqu'à dix participants: un par navire !
L'un des éléments notables de Dreadfleet est l'utilisation de cartes pour indiquer les dégâts, et rappeler les caractéristiques des monstres marins, des navires et des capitaines. De fait, il est rare qu'un navire coule après le premier coup au but (et ça ne serait pas rigolo). Au lieu de cela, il prend feu, sa coque est attaquée par des requins-scie, son équipage est décimé peu à peu, ses mâts sont arrachés... Parfois, vous serez confronté à un terrible dilemme, lorsque votre navire sera en train couler, ravagé par les incendies... (ce second problème étant certes résolu au final par le premier). Comme on pourrait s'y attendre de la part d'un jeu mettant en scène un pirate vampire, tout peut arriver, les cartes étant là pour vous aider à noter les événements qui se déroulent. Vous, l'amiral de la flotte, serez chargé de décider quelles menaces affronter en priorité, qu'il s'agisse d'un navire mort-vivant, d'un monstre marin ou de cet incendie qui menace de se propager jusqu'à la sainte-barbe...
Comme toujours dans le monde de Warhammer, le jeu est baigné de magie, avec des galions morts-vivants fantomatiques, des navires aux équipages composés de créatures mystiques, des piranhas morts-vivants volants, des bordées de canons en pagaille et des capitaines si flamboyants qu'Errol Flynn lui-même peut aller se rhabiller. La scène pour cette confrontation épique entre le bien (ou tout au moins, entre des pirates vivants) et le mal (des pirates morts-vivants vraiment affreux) est le Cimetière du Galion, un lieu étrange d'où Noctilus tire ses pouvoirs, et où Roth s'est rendu pour débusquer sa proie.
Le jeu contient dix navires sublimes dotés chacun de leur propre capitaine haut en couleurs. De plus, chaque navire possède ses propres caractéristiques et règles spéciales, ce qui multiplie d'autant le nombre de tactiques à tester. Alors que la plupart de nos jeux sont traditionnellement pour deux joueurs, celui-ci peut rassembler jusqu'à dix participants: un par navire !
L'un des éléments notables de Dreadfleet est l'utilisation de cartes pour indiquer les dégâts, et rappeler les caractéristiques des monstres marins, des navires et des capitaines. De fait, il est rare qu'un navire coule après le premier coup au but (et ça ne serait pas rigolo). Au lieu de cela, il prend feu, sa coque est attaquée par des requins-scie, son équipage est décimé peu à peu, ses mâts sont arrachés... Parfois, vous serez confronté à un terrible dilemme, lorsque votre navire sera en train couler, ravagé par les incendies... (ce second problème étant certes résolu au final par le premier). Comme on pourrait s'y attendre de la part d'un jeu mettant en scène un pirate vampire, tout peut arriver, les cartes étant là pour vous aider à noter les événements qui se déroulent. Vous, l'amiral de la flotte, serez chargé de décider quelles menaces affronter en priorité, qu'il s'agisse d'un navire mort-vivant, d'un monstre marin ou de cet incendie qui menace de se propager jusqu'à la sainte-barbe...
J'espère bien que tu nous le feras tester !
RépondreSupprimerOuaip, il me tarde de peindre ces étranges bateaux de guerre ! Les bateaux sont en fait assez larges et grands, ils mesurent plusieurs figurines 28mm de large !
RépondreSupprimer